A l’occasion de la journée mondiale du cancer du poumons du 1er aout 2022, la FNMR rappelle que ce cancer est un des plus graves et fréquents en France et dans le monde.

Depuis 5 ans, la FNMR alerte les Pouvoirs publics sur l’urgence de mettre en place un dépistage. Ne pas s’engager dans cette démarche est une perte de chance pour des milliers de patients.

Plusieurs études reconnues, en Europe et aux Etats-Unis, ont démontré que le dépistage du cancer broncho-pulmonaire par scanner basse dose permettait une réduction de la mortalité de 20%

L’INCa met en place une expérimentation dont les résultats ne devraient aboutir que fin 2024 ou 2025. Ce délai n’est pas acceptable pour les patients.

La FNMR appelle le président de la République qui s’est engagé à renforcer la prévention en santé, à tout mettre en œuvre pour faire accélérer le processus d’expérimentation.

La FNMR, forte de son expérience du dépistage du cancer du sein qu’elle a initié en France, rappelle qu’elle prête s’engager pleinement dans cette action de santé publique avec les pouvoirs publics.